Traduction par Louis-Issac Lemaistre de Saci, édition de 1855, libre de droits.
n°12 / Rois. Livre quatrième. 5 :
20lorsque Giézi qui servait l’homme de Dieu, dit en lui-même : Mon maître a épargné ce Naaman de Syrie, et n’a voulu rien prendre. Vive le Seigneur ! je courrai après lui, et j’en recevrai quelque chose.