Traduction par Louis-Issac Lemaistre de Saci, édition de 1855, libre de droits.
n°11 / Rois. Livre troisième. 7 :
30Chaque socle avait quatre roues d’airain et des essieux d’airain : aux quatre angles il y avait comme de grandes consoles jetées en fonte, qui soutenaient la cuve, et se regardaient l’une l’autre.