Traduction par Louis-Issac Lemaistre de Saci, édition de 1855, libre de droits.
n°9 / Rois. Livre premier. 1 :
16Ne croyez pas que votre servante soit comme l’une des filles de Bélial : car il n’y a que l’excès de ma douleur et de mon affliction qui m’ait fait parler jusqu’à cette heure.