Traduction par Louis-Issac Lemaistre de Saci, édition de 1855, libre de droits.
n°27 / Daniel. 10 :
8Étant donc demeuré tout seul, j’eus cette grande vision ; la vigueur de mon corps m’abandonna, mon visage fut tout changé, je tombai en faiblesse, et il ne me demeura aucune force.