Traduction par John Nelson Darby, édition de 1885, libre de droits.
n°21 / Le Prédicateur 2 :
10Et quoi que mes yeux aient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie, car mon cœur s’est réjoui de tout mon travail, et c’est là la part que j’ai eue de tout mon travail.