Traduction par Edmond Stapfer, édition de 1889, libre de droits.
n°52 / Première épître aux Thessaloniciens 3 :
5Voilà pourquoi, n’y tenant plus, j’ai envoyé savoir des nouvelles de votre fidélité ; je craignais que le Tentateur ne vous eût tentés, et que notre peine n’eût été perdue.