Traduction par Edmond Stapfer, édition de 1889, libre de droits.
n°66 / L’Apocalypse 3 :
8Je sais tes œuvres ; voici, j’ai ouvert devant toi une porte que personne ne peut fermer, parce que, malgré ta faiblesse, tu as gardé ma parole et n’as pas renié mon nom.