Traduction par Edmond Stapfer, édition de 1889, libre de droits.
n°66 / L’Apocalypse 16 :
15—(« Voici, je viens comme un voleur : Heureux celui qui veille et qui garde ses vêtements, de peur qu’il ne soit réduit à courir nu, et qu’on ne voie sa honte. »)