Traduction par Edmond Stapfer, édition de 1889, libre de droits.
n°44 / Les Actes des Apotres 27 :
41On tomba sur une langue de terre battue des deux côtés par la mer ; là, le navire échoua. La proue, qui s’était enfoncée dans le sable, resta immobile ; la poupe, au contraire, se disloquait à chaque coup de mer.