Traduction par l'abbé Augustin Crampon, édition de 1923, libre de droits.
n°16 / Livre de Néhémie 2 :
3et je répondis au roi : “ Que le roi vive éternellement ! Comment mon visage ne serait-il pas triste, lorsque la ville où sont les sépulcres de mes pères est dévastée et que ses portes sont consumées par le feu ? ˮ