Traduction par l'abbé Augustin Crampon, édition de 1923, libre de droits.
n°22 / Le cantique des cantiques 5 :
5Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a dégoutté la myrrhe, de mes doigts la myrrhe exquise, sur la poignée du verrou.