Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°8 / Ruth. 3 :
7Et lorsque Boaz eut mangé et bu et qu’il eut le cœur gai, il vint se coucher au bout du monceau des gerbes. Alors elle arriva doucement, et elle releva la couverture de ses pieds, puis elle se coucha.