Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°8 / Ruth. 1 :
12Retournez, mes filles, allez ! Car je suis trop vieille pour être à un mari. Quand je penserais : Il y a lieu pour moi d’espérer ; quand cette nuit même je me trouverais mariée, bien plus, quand j’enfanterais des fils,