Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°16 / Néhémie 2 :
2Alors le roi me dit : Pourquoi as-tu l’air triste ? Tu n’es pourtant pas malade ? Ce n’est pas autre chose que chagrin du cœur. Et j’éprouvai une grande crainte.