Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°25 / Les lamentations de Jérémie. 2 :
18Leur cœur pousse ses cris vers le Seigneur. O muraille de la fille de Sion ! laisse tomber tes larmes comme un torrent le jour et la nuit, ne t’accorde aucun relâche, que ta paupière ne se repose pas !