Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°25 / Les lamentations de Jérémie. 1 :
16C’est sur cela que je pleure, que mes yeux, mes yeux fondent en larmes ; car ils sont loin de moi ceux qui me consoleraient, me rappelleraient à la vie ; mes fils sont exterminés, car l’ennemi l’emporte. »