Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°25 / Les lamentations de Jérémie. 1 :
14C’est sa main qui a serré le joug formé par mes crimes ; ils s’entrelacent, ils pèsent sur mon col ; Il a fait fléchir ma vigueur ; le Seigneur m’a livrée aux mains de ceux à qui je ne puis tenir tête.