Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°7 / Les Juges. 11 :
35Et quand il la vit, il déchira ses vêtements et dit : Ah ! ma fille ! tu m’atterres, tu m’atterres ! c’est toi qui me plonges dans l’affliction ! J’ai laissé ma bouche promettre à l’Éternel et je ne puis revenir en arrière !