Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°35 / Habacuc. 1 :
13Toi dont les yeux sont trop purs pourvoir le crime, et qui ne peux être spectateur des maux, pourquoi verrais-tu des impies, te tairais-tu quand le méchant dévore un plus juste que lui ?