Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°1 / La Genèse. 27 :
27Et il s’approcha et l’embrassa. Alors il sentit l’odeur de ses habits et il le bénit et dit : Voyez ! le parfum de mon fils est le parfum d’un champ que l’Éternel a béni.