Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°26 / Ézéchiel. 4 :
14Alors je dis : Ah ! Seigneur Eternel, voici, mon âme ne s’est point souillée, et depuis ma jeunesse à maintenant je n’ai mangé ni corps mort, ni corps déchiré, et jamais viande impure n’entra dans ma bouche.