Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°23 / Ésaïe. 65 :
20Là désormais plus d’enfant né pour quelques jours, plus de vieillard qui n’achève le nombre de ses jours ; car on sera jeune en mourant centenaire, et le pécheur à cent ans subira sa malédiction.