Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°23 / Ésaïe. 58 :
6Voici le jeûne que j’aime : c’est qu’on délie les chaînes de l’impiété, qu’on fasse tomber les courroies du joug, qu’on affranchisse les opprimés et que vous enleviez toute sorte de joug ;