Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°23 / Ésaïe. 47 :
10Tu te fiais en ta malice, tu disais : « Personne ne me voit ! » Ta sagesse et ta prudence ! ce sont elles qui t’égarent ; et tu dis dans ton cœur : « Moi et nulle autre que moi ! »