Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°23 / Ésaïe. 15 :
5Mon cœur gémit sur Moab, dont les fugitifs s’en vont jusqu’à Tsoar, jusqu’à Églath-Schelischia, car on monte en pleurant la pente de Luchith, car le long du chemin de Choronaïm ils élèvent des cris déchirants ;