Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°21 / L'Ecclésiaste. 8 :
16Lorsque je pris à cœur de connaître la sagesse, et de considérer les affaires dont on s’occupe sur la terre, (car ni jour ni nuit on ne laisse ses yeux sentir le sommeil)