Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°21 / L'Ecclésiaste. 7 :
2Mieux vaut aller dans la maison du deuil, que d’aller dans la maison du festin ; car c’est là la fin de tous les hommes, et le vivant y rentre en lui-même.