Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°21 / L'Ecclésiaste. 3 :
22Je vis donc qu’il n’y a rien de mieux sinon que l’homme ait de la joie de ce qu’il fait ; car c’est là son lot. Car qui le fera venir pour voir ce qui sera après lui ?