Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°21 / L'Ecclésiaste. 2 :
16Car pour le sage, pas plus que pour le fou, il n’y a de mémoire éternelle, puisque dans les jours à venir ils seront oubliés l’un et l’autre depuis longtemps : le sage, hélas ! meurt aussi bien que l’insensé.