Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°21 / L'Ecclésiaste. 2 :
1Je dis en mon cœur : Viens, [mon âme !] eh bien ! je veux te faire essayer de la joie, et goûte ce qui est bon ! Mais voici, cela aussi est une vanité :