Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°22 / Le Cantique des Cantiques. 8 :
1O ! que n’es-tu pour moi, comme un frère allaité à la mamelle de ma mère ? Te rencontrant dehors je pourrais l’embrasser, sans encourir le mépris.