Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°22 / Le Cantique des Cantiques. 5 :
9— Qu’a ton bien-aimé de plus qu’un autre bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Qu’a ton bien-aimé de plus qu’un autre bien-aimé, pour nous adjurer ainsi ? —