Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°22 / Le Cantique des Cantiques. 5 :
5Je me levai pour ouvrir à mon bien-aimé, et mes mains furent trempées de myrrhe, et mes doigts, d’une myrrhe onctueuse, en se posant sur les poignées du verrou.