Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°22 / Le Cantique des Cantiques. 4 :
16— Lève-toi, Aquilon, et accours, Autan, souffle dans mon jardin, et que les parfums s’en exhalent. Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin, et en goûte les fruits délicieux. —