Traduction par Henri-Auguste Perret-Gentil, édition de 1847-1861, libre de droits.
n°22 / Le Cantique des Cantiques. 1 :
7Dis-moi, ô toi qu’aime mon âme, où tu pais tes brebis, où tu les fais reposer à midi ! car pourquoi errerais-je éperdue autour des troupeaux de les compagnons ? —