Traduction par Albert Rilliet, édition de 1858, libre de droits.
n°54 / Aux Corinthiens II. 7 :
8Car, lors même que je vous ai attristés par ma lettre, je ne le regrette point ; mais quoique j’aie eu du regret, (je vois que cette lettre vous a attristés, bien que ce ne fût qu’un instant),