Traduction par Albert Rilliet, édition de 1858, libre de droits.
n°59 / Aux Thessaloniciens I. 2 :
17Pour nous, frères, après avoir été séparés un instant de vous, de visage et non de cœur, nous avons cherché, avec d’autant plus d’ardeur, à satisfaire notre vif désir de voir votre visage ;