n°33 / L’Ecclésiaste 5 :
17Or donc, ce que j’ai reconnu comme bon, comme convenable, c’est de manger et de boire, de jouir du bien-être dû à toutes les peines qu’on se donne sous le soleil, au cours de l’existence que Dieu nous octroie : c’est là notre lot.
18En effet, supposez un homme que Dieu a comblé de richesses et de biens et rendu maître d’en jouir, d’en prendre sa bonne part et d’être en liesse, grâce à son travail : ce sera un don de Dieu !
19Car celui-là ne songera pas beaucoup aux jours de son existence, puisque Dieu voit avec plaisir la joie de son cœur.