Traduction du rabbinat par Zadoc Kahn, édition de 1899-1906, libre de droits.
n°30 / Le Cantique des cantiques 5 :
5Je me lève pour ouvrir à mon bien-aimé ; mes mains dégouttent de myrrhe, mes doigts laissent couler la myrrhe sur les poignées du verrou.